Gises Felter²
≈ MESSAGES : 4 ≈ INSCRIPTION : 11/05/2014 ≈ PSEUDO : marine ≈ CREDITS : ruthless
| Sujet: little love. Dim 11 Mai - 18:28 | |
| gises felterVINGT-QUATRE ANS / LIBRAIRE / EAST HAMPTONdon't worry, life is easy © credits tumblr | little love - aaron ≈ ≈ ≈ PRÉNOM, NOM : Gises Felter. ÂGE, DATE DE NAISS. : Vingt-quatre ans, née le deux mars aux Hamptons NATIONALITÉ ET ORIGINES : américaine, d'origine italienne. MÉTIER ET ÉTUDES : libraire, pour financer ses études de psychologie criminelle. ÉTAT CIVIL : célibataire. STATUT MONÉTAIRE : correcte, $$$. CARACTÉRISTIQUES PHYSIQUES : elle possède une tâche de naissance sous la poitrine et s'est fait tatouer le prénom, Aaron, de son père décédé sur la cuisse. TRAITS DE CARACTÈRE : réfléchie, tactile, ambitieuse, perfectionniste, vulnérable, téméraire, obstinée, indomptable, farouche, douce, curieuse, vive, jalouse, sociable mais pas trop, directe, souriante, susceptible, perspicace, observatrice, sarcastique. GROUPE : east hampton. SUMMER KIND OF WONDERFUL Fille unique d'une grande fratie, Gises a quatre frères aînés. Mais détrompez-vous, elle n'a jamais été traitée comme une petite princesse pourrie gâtée, jamais. Au contraire, c'était un véritable garçon-manqué, coriace et déterminé. Avec eux, elle a appris à avoir du répondant et à se battre, Gises a énormément gagné en confiance grâce à ses frères. Imbattable, elle a également passé d'incalculables heures à jouer à la playstation ou aux voitures télécommandées. C'est une championne du baseball et de call of duty. ≈ Soucieuse de ses enfants, Madame Felter, italienne, a souhaité offrir un bel héritage culturel à sa progéniture. Ils parlent tous la langue de son pays. Tous, sans exceptions. Et c'est avec un plaisir non dissimulé qu'ils utilisent quotidiennement cette langue. Gises s'exprime en italien dès qu'elle est extrêmement énervée ou extrêmement joyeuse. Ses insultes sont toujours italiennes et ses pensées également. Elle est amoureuse de cette culture et ne remerciera jamais assez sa mère de l'avoir rendue bilingue. ≈ Son père est décédé depuis deux ans d'un cancer des poumons. Sans cet amour puissant et indéfinissable qu'elle partage avec ses proches, sa mère et ses frères, jamais elle n'aurait tenue face au choc de cette perte. Sensible et vulnérable, dans ces moments-là, elle s'appuie essentiellement sur les épaules de ses aînés, toujours présents pour l'aider à remonter les pentes. ≈ Curieuse et aventurière, Gises est douée pour se retrouver des situations indésirables. Elle mets toujours les pieds là où elle ne devrait pas. ≈ Observatrice et intelligente, c'est sans surprise pour sa famille qu'elle s'est dirigée vers un cursus des plus original : la psychologique criminelle. Sa nature de justicière la pousse à ne pas supporter l'idée que l'on puisse condamner un criminel à la mort parce qu'il a tué un individu. Où est la logique, où ? Elle aime essayer de comprendre et analyser le comportement de ces personnes poussées à commettre des meurtres irréparables. ≈ Son autre passion ? La lecture. Elle lit, tout, et n'importe quoi. A l'instant même où elle a compris qu'elle devrait se trouver un travail, elle s'est tournée vers Monsieur Hopkins, dirigeant de l'établissement dans lequel elle travaille désormais à mi-temps afin de subvenir à ses besoins financiers. ≈ Gises est une personne vrai et entière qui n'est pas capable de faire semblant ou de mentir. Elle extériorise l'ensemble de ses pensées, quelles soient bonnes ou mauvaises. Quand elle aime, elle ne compte pas, quand elle déteste, elle ne le cache pas. ≈ Douée pour les tâches ménagères, Gises est une vrai petite femme à tout faire : elle maîtrise le bricolage, l'informatique, la cuisine et la couture. ≈ Elle adore passer l'ensemble de ces dimanches enfouies sous sa couette à regarder des séries, manger des fruits, dormir nue, se déplacer en skate-board, courir les soirs d'été, se battre avec ses aînés, jouer à la console vidéo, chanter en cuisinant, se prendre pour une danseuse étoilée, surfer dès qu'elle en a l’occasion, parler en italien à des personnes qui ne comprennent pas cette langue, le rire de Malo, le sourire de Malo, la voix de Malo, le parfum de Malo, Malo. ≈ Gises a l'habitude de se mordre la lèvre lorsqu'elle est gênée ou amusée, de se caresser les oreilles quand elle est fatiguée, de se déshabiller dès qu'elle rentre chez elle, de rire à toutes les conneries qu'elle entend, de porter un parfum à la vanille depuis qu'elle a quatre ans. ≈ Elle a peur du noir, de penser à son père, de ses sentiments incompréhensibles à l'égard de Malo. WHERE HISTORY IS MADE Alors, vite, je tombe Comme un pantin sans fil. Trop libre et trop fragile. Je cherche ta main dans les nuages, Pour chasser son image. Brusquement, j’ouvrais cette porte qui me plongeait dans une marée de souvenirs, j'ouvrais la porte de notre chaleureuse maison familiale. "C’est moi !" hurlais-je. A quoi bon le préciser, qui exceptée la folle que j'étais pouvait se permettre de telles entrées fracassantes ? Mes frères étaient tous bien moins excentriques que moi. Surprise de ne pas obtenir de réponse, je retirais d'un geste rapide mes chaussures et balançais ma veste sur le sol. Je fis tomber mon visage en avant, secouais mes cheveux et les nouais dans un vulgaire. "J'ai réussi mon examen, j'ai tellement galéré donc soyez fière de ..." Je pénétrais alors dans le salon et découvrais l’ensemble de mes frères assis sur les canapés, étrange. J’arquais un sourcil et découvris ma mère, en larmes. J'en entrouvrais les lèvres et sentis une vague de panique m'envahir. Que se passait-il ? Pourquoi ces visages si fermés, pourquoi ? " C'est quoi le problème ?!" demandais-je aussitôt, me rapprochant de maman. Je déposais délicatement mes lèvres sur son front et allais caresser le dessous de ses yeux afin de chasser ses larmes qui abîmaient son visage pourtant si éclairée d'ordinaire. Je le sentais s’affoler, mon rythme cardiaque. Je le sentais s'affoler, mon être tout entier. "Putain mais merde Lucas réponds-moi ! Allo, Mario, Edd, Cruz, répondez-moi !" criais-je. Calmes-toi Gises, calmes-toi. Tu sais qu’il est en train de se passer quelque chose, mais tu ne sais pas encore quoi. Alors calmes-toi. Calmes-toi s’il-te-plaît. Tu sais à quel point tu peux t'emporter facilement, mais calmes-toi. "Vous vous foutez de ma gueule, vous me faites une blague, c'est ça ? Dites-moi !" "Papa est mort" m'annonça Mario. "Papa quoi ?! Non, mais c'est une plaisanterie j'espère ? Il allait parfaitement bien hier ! Dis-moi que c'est une plaisanterie Mario, s'il-te-plaît, dis-le moi Mario !" hurlais-je, incapable de me contenir. Mon corps tremblait, mes jambes se laissaient tomber sur le sol. La main compatissante de ma mère enroba la mienne. Mes yeux se noyèrent. Mon souffle se coupa Je manquais d'air, j'étouffais. Je perdais mon équilibre. Je perdais mes repères. "Son cancer a remporté la partie" murmura alors ma mère. Une claque. Une immense claque. Mais je n'y croyais pas. Ce n'était pas possible. Pas possible. "Je veux le voir ! Où est-il ? Je veux le voir maintenant ! Laissez-moi le voir !" hurlais-je tout en attirant mon corps décomposé vers la sortie. Mes lèvres ne tenaient plus. Mon coeur s'apprêtait à exploser. Je trébuchais, tombais sur mes genoux, mais continuais sans cesse d'avancer, en rampant, en me glissant sur ce sol qui me semblait si collant et douloureux à traverser. Incapable de croire à cette nouvelle, incapable de me raisonner. "Gises il est mort ! Tu comprends ? Il est mort et il ne reviendra plus !" "Cruz s'il-te-plaît ..." Et moi, je me redressais et allais frapper le visage de mon frère. "Tu mens ! Vous me mentez tous, je vous déteste, je vous hais ! Je veux le voir, montrez-le moi ! Papa, PAPA !" Je continuais, j'abattais des coups sur son corps, je voulais le détruire, je voulais l'anéantir. Et violemment, il attrapa mes poignets et coinça mon dos contre son torse. Il me soufflait de me calmer, il me suppliait de me calmer. Mais je n'y arrivais pas, je ne pouvais pas le faire. "Papa réponds-moi, Papa je sais que tu es là !" "Putain Gises papa est mort ! Arrêtes Gises, cesses de faire la gamine ! Arrêtes !" Mon souffle se coupa, mon corps se cambra et mon cri s’éleva, un cri de souffrance, un cri de désespoir. Une force se contractait autour de mon corps, et je me sentais chuter, je me sentais loin. Une main m'attirait dans les profondeurs, dans l'obscurité. Papa. Je pleurais. Je hurlais. Je pleurais. Je hurlais. Je tremblais. Je n'en pouvais plus. Je voulais mourir, je voulais partir, le rejoindre, me glisser dans ses bras, pour toujours. Je m'écroulais, m'allongeais entièrement sur le sol. Et mon cri, constant, ne cessait pas un seul instant d'extérioriser cette colère si vive qui me brûlait le coeur, qui me nouait l'estomac et me qui torturait l'esprit. Mon coeur pleurait, mon coeur hurlait. Mon coeur disait je t'aime, je t'aime papa. A jamais. There's something inside you, it's hard to explain They're talking about you boy, but you're still the same Bouleversée. Chavirée. Tourmentée. Mon corps s'affolait en repensant aux frissons provoqués par la chaleur de cet ébat, de cette passion éphémère que j'avais partagé avec Malo. Malo, mon ami, mon attirance, mon interdit. Putain de sentiments. Putain de merde. Ils allaient tout détruire. Et moi j'étais stupidement assise sur le bord de mon lit à caresser les courbes de mon visage, de mes bras, jusqu'à atteindre mes cuisses. Je me noyais dans les souvenirs de cette nuit. Je me surprenais à y perdre mon pouls. Aidez-moi, dites-moi comment penser, que croire, qui croire. Ma raison, mes sentiments ? Allez tous vous foutre. Je me relevais et récupérais mon portable, je relisais ce message, son message. Rendez-vous dans une heure. Dans ce bar. Pourquoi ? Qu'espérer ? Mais merde Gises, tais-toi, cesses de penser. Habilles-toi. Cesses de te questionner. Ça ne te mèneras à rien, si ce n'est à ta perte. Oublies, c'est sans importance pour lui ma belle. Ce n'était qu'un coup de rein, rien de plus, rien de moins, banal et basique. Je me préparais, silencieuse, soucieuse. A quoi bon se faire belle ? Pour qui se faire belle, l'ami ou l'amant ? Gises, je t'ai demandé de te taire. Alors je soupirais. Le temps passait. Et j'étais là. Accoudée à ce bar. Le temps accentuait ce minuscule et stupide espoir, celui de croire que ça avait eu de l'importance pour Malo et que ce n'était pas qu'une vulgaire nuit à ses yeux. Il arriva. Je me noyais à le contempler. Ses lèvres tombèrent sur ma joue, me piquant le coeur. Mais je ne voulais pas lui permettre de lire dans mes pensées, je ne voulais pas qu'il puisse comprendre ma folie et mes idiotes. Je m'emballais, j'étais stupide et naïve. Comment pouvais-je oser vouloir gâcher tant d'années d'amitié, comment ? J'étais torturée par mes pensées qui ne faisaient que de se contredire. Je frottais mon visage, rapidement, puis j'esquissais un large et grand sourire, fidèle à moi-même. "Alors, pourquoi tu m'as fais venir ici Malo Grimes ?" J'avais tellement envie de pleurer. Tellement. Il s'en foutait et me le faisait comprendre. Mon sourcil se arqua, j'avais beau mettre en place tous les efforts nécessaires pour faire fuir la réalité de mes émotions, je n'y arrivais pas. Je n'arrivais pas à être fausse ou à être celle que j'aimerais lui faire croire. "J'avais quelque chose à te dire !" Ah ? Sa voix, son sourire, tout était destiné à me tirailler encore plus et davantage le coeur, tout était destiné à m'offrir encore de l'espoir. "Matthew Filsburg m'a parlé de toi. Je crois que tu devrais tenter quelque chose avec lui, Gisette." Matthew Filsburg, tenter un truc, Gisette. Échec et mat, ma belle. Là, tu es KO. Mise hors jeu. Détruite. Vide d'expressions, je pris le temps d'avaler cette douloureuse réalité. Puis, j'affirmais souriante être ravie par cette nouvelle. Tu parles, foutaise, tout ceci n'était que des conneries. J'attrapais rapidement mon verre, j'avais besoin de remplir mon corps de fraîcheur pour calmer cette chaleur destructive qui me nouait le ventre. "Santé" lui soufflais-je, tout en osant me perdre dans ses yeux. Je m'en voulais. Je m'en voulais d'être si rêveuse et romantique. "A tes amours, mon ange." Malo venait d'abattre sa dernière carte, celle qui me repoussait au rang de perdante. Des larmes picotaient mes yeux désorientés. Mes doigts se resserrèrent sur eux-même. Je relevais mon verre, et bus une longue gorgée, une très longue gorgée. Noyez-moi, kidnappez-moi, emmenez-moi loin de lui, loin de ces sentiments destructeurs que je ne pouvais pas assumer.- Spoiler:
BEYOND IMAGINATION AND SKILLS PSEUDO ET PRÉNOM : Marine. ÂGE : vingt-ans. PAYS : France, représente. PRÉSENCE : vingt-quatre heures sur vingt-quatre. ARRIVEZ-VOUS DE BAZZART? : oui. CONNAISSIEZ-VOUS LES VERSIONS PRÉCÉDENTE : je crois. AVIS : je trouve c'est une putain de jolie bombe votre forum ! le design m'a tué. SCÉNARIO? : Malo. AVATAR : shailene woodley. AUTRE : Malo, je te veux, je t'aurais
Dernière édition par Gises Felter² le Mer 14 Mai - 19:53, édité 13 fois | |
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